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c MC Alien dans la cepla, t pas preparé au dégât, putain j'suis dégun, j'suis un fou, un vrai monstre a trois tete qui s'entete sur freestyle de fou, je repense au bon temps, des muziks holosonore, sur les platines d'oreillettes a l'ancienne, je ridais trankil dans ma navette spatiale, en me téquilant la testa a coup de téquila importé depuis le désert lunaire, Saturne me manque, et ses petites créatures féminines, je voudrais encore gouter leurs cyprine a ces belles petites chiennes de villes, ici trop de surpopulation, trop de pollution, planète Mars ki va crever, comme on a enterré la planète mere notre terre a force de vriller, on va tous finir grillé en vrai j'suis dégouté, et ca me tue, j'me censure, car la milice de mars s'immisce en masse dans mon adn d'alien, j'suis qu'un immigré non humain, ^pourtant de type humanoide, mais mon adn vous dégoute, c vrai, alors j'ai le spleen, et je fini par me dire, j'suis vraiment cette merde qu'ils affirment, vouloir chasser de la planète, soi disant qu'on vous inquiète, vous pique vos recettes, brulent vos navettes, alors parti en mode deter, pret a sortir le gun laser et defourailler, sur le poulailler des poulets martiens, je v me mettre a la bien, trankil cousin, radios chblups , c mc alien, freestyle, t pas de taille, j'ai la haine, je suis en mode banzaï, neo-tokyo m'inspire, ici ca etouffe, on respire la mort, et ta putain de radio chblups ! je l'adore, nik sa mere le digitalisme, j'suis qu'un putain d'alien de ses morts, alors kiff et redemande encore ! blaaaa !
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2. |
Mode Grodzilla
03:58
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jsuis en mode grodzilla, en mode fureur, berseker, plus taré que le troisième reich de Adolf Hitler, plus extrême que staline CROSS poutine, j'vais t'éparpiller façon puzzle, a la fin du mois de mai on retrouvera plus Milou en Août, et dans ta tête s'insinue, la goutte de sueur, la transpiration face au Kayser, j'suis Opé tel schwarzie face au Prédateur, je vais te secouer les dreadlocks, te faire tousser ta marie jeanne hors des alveoles pulmonaires, tu va pleurer auprès de ta mère, me la nous fais pas a l'envers, j'suis pas un schizo ki voit double, ma personnalité reste trouble, j'trouve pas l'ouvre bôite, y'a besoin pour sortir ton crâne de mes idées fumeuses, j'suis plus brumeux qu'd'la vaporwave, j'suis un rappeur qui fait de la rave music, techno hardcore breakcore jungle ca deboite, je vais te niker ta gueule sans passer par les bois, je suis le grand méchant Loup, je viens faire piquer le p'tit roquet ki s'prenait pour un fou, fais pas l'perroquet, j'ai niké tes rimes de kéké du tourniquet, appelle moi tronique, le batard supersonique !! je vais t'exploser le chihuahua sur le tyrolipinpon, ça vient pas de la pampa, mais de la forêt de Paimpont, J'vais faire gerber a Merlin des milliers de p'tits dragons, et sortir mon excalibur avant la coupure de la censure, médiéval X comme Malcolm j'ai des tricks de Verre Cassé qui ont déjà servi, me sert pas ton cevi sur un plateau,et gobe plutôt ma crème dans le micro, ah l'dawa mon branleur, c'est l'rouleur qui s'fout en boule, chuis qu'un faux ch'ti breton pour vrai avec relents de varéniki et frites gaufrettes, t'as pas capté j't'ai décapé, c'est pliant, j'suis l'boss en mode Vaillant.
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3. |
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J'assiste tous les jours, a ma nemesis sur l'écran de ma tour, me soufflant le bien et le mal, le chaud et le froid, je dois combattre les insinuations, la diffamation qu'elle est triste cette piste, cet ennemi est le pire de moi même, intérieur vers l'extérieur, aux yeux de tous, les secrets les plus profonds, que seuls les murs connaissent, mais on connaît l'adage, les murs ont des oreilles, donc, je m'irrite, et m'excite sur un couteau qui s'invite, la lame tournoyant, dans mes cris menacants, le regard est pesant, les yeux fixes, cernés de noirs, dehors c'est nuit noire et profonde, 4h du mat', je ne m'éclate plus, je ne prends que des claques de plus, chaque fois fois que je matte les programmes, j'ai beau en mettre d'autres de plus, ils se trouvent tous connectés à mon histoire, comme si ma vie est une passoire, je me renferme, ne dis rien de plus, on m'enferme, un séjour de plus, c'est une prison, c'est pas la ferme, les barreaux ne s'écartent que dans mes rêves ou je vole au dessus de la terre ferme, les reflets de la lune sur le sol de la chambre se mélangent à l'ombre du grillage des fenêtres, un oiseau se fait connaître avec un cri, je les écoute, et je me dis, "quelle vie", j'ai beau hurler de me laisser sortir, taper a coup de tête sur les murs jusqu'a en souffrir, rien n'y fait, la médecine doit se concerter, la doctoresse est jolie, mais une beauté qui cache une sorte de perversité à avoir un pouvoir de supériorité sur des gens enfermés, du moins c'est ce que je me dis, entre les murs, se créent des affinités, un héroinomane venu se sevrer, une maniaque du suicide, ou un type qui parle aux lutins et aux fées, toute une faune de miséricorde, des oubliés, mais je le sais, Dieu ne nous avait pas laissés de côtés, alors on se met à échanger, des amitiés se créent, parfois même l'amour y naît, tu comprends alors, que ce n'était pas qu'un coup du sort, et parfois quand tu es dehors, tu n'as que le souhait de t'y retrouver, espérant chercher un réconfort que tu as créé dans la mémoire, la folie c'est aussi beaucoup d'espoir, alors le soir, j'allume le pc, et j'assiste tous les jours, a ma nemesis sur l'écran de ma tour...
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4. |
Loquace
02:57
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MC Alien se déchaîne, ma voix s'enraille alors j'enchaine, le cerveau déraille fais pas la chienne, je suis du syndicat du Grime organisé, je viens tout péter, têter les groberts fruités de cette vie un délice, cacedédi aux miss et chéries, au passé, au présent, au futur, cela me rassure, sur mon allure de pur gars qui assure, blue comme chuck berry, pas richard béri, je suis le blueberry bwoy du cromi au comic-con, appelle moi don cortizone, le parrain de la rime se la donne sur sa zone, et s'amène, bim ! c'est l'abîme dans l'ozone, pas d'ébène d'apres la vie, j'ai du pot, ma peau est saumon, c'est pas un gros mot, je me sens si bien dans cette peau parfois, sauf des fois, ou je suis sans foi, sans voix, collé a la sale voie, alors résonne ma voix, mais, j'ai du respect a tous mes frères terriens, a mes soeurs terriennes, surtout leur fleur aux senteur de miel, mon vocal devient floral, me fais pas la morale, j'suis pas ta chorale, je ne donne plus de confitures aux cochons sales, si tu veux cet EP, faudra sortir l'argent par la ou ça fait mal, j'suis cet Alien sur terre, de l'hemisphere nord, un emir de Namur sur la côte corsaire, j'ai un esprit fier, alors je te sors mon plus rude air corse, et je m'efforce a rester cette tranquille force, dans son corps mastoc de molosse, pourtant moi je suis l'authentique type trop gentil, mais avant de vouloir me la faire a l'envers, dis toi que mon vice est egal a ma gentillesse, juste le délaisse, pour rester a l'aise dans mon doux far west, c'est toute une époque, faite de shit et de choc, qui escroque le cerveau des paumés tel que moi, ce si grand sorcier du vide digital, pas une de tes voyelles de quartier qui fait le rebelle de la mentale, sur un mic pour la monnaie a balle, alors qu'il est un simple junkie de la marie jeanne végétale, bim, c'est la dernière qui te fût fatale.
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5. |
Murmures
02:22
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je calme les ombres a coups de murmures,
je calme le sombre faufilant dans les murs,
ma violence je l'endure, j'écris avec des ratûres,
je te fais apercevoir ce que tu ne peux percevoir,
c'est un dû en don qui t'induit sur mes dons,
que ce soit réèl ou contrefaçon, une leçon,
je bosse mes sons ensorcelés de mystique,
bienvenue dans mon bad trip ésotérique,
tu en ressens les vibrations, l'effet papillon,
sous terre grogne les millions de vers a charogne,
j'impose ma lenteur, sans drogue ni mentor,
je freine ma fureur, et m'empêche de crier fort,
rien, non rien de rien a voir, ni a entendre,
tu ne peux dire que ce que je laisse sous-entendre,
l'âme et son corps, ta dame et son porc,
la peau flétrit, nos âmes s'assagisse,
les cicatrices se rident, et le débit de paroles se vide,
dans les yeux les flammes de vies, font ressentir la force,
sacré ou profane, a la fin, le jardin te réclame,
n'oublie pas de rester en vie, sans peur de mourir,
car si tu crois au tout puissant, tu ira la ou il faut.
rien de tout ça n'est faux...
au coeur de la matrice, dans le coeur du divin, un rouage de systeme, se fait mien,
alors je deviens un de ces etres qui se fond au destin, donc, je deviens immortel,
mon esprit doit rester sain, ainsi, de petit bonhomme dangereux mais effacé, je deviens
paisible et aimé, je ne suis pas saint, au sens d'une église, juste un ange, dans un ciel divin.
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